Nos furets sont nourris au barf et croquette de bonne qualité.
Pour ceux qui s'intéressent à l'alimentation crue, voici un tableau pour montrer
un exemple d'un horaire hebdomadaire.
Il devrait y avoir 8-9 repas avec os (aile, cous, cuisse, dos), 3-4 viande protéine (poulet, canard, souris, bœuf, mouton, dinde, ect et au moins deux a trois onces de coeur), et un repas d'organes (foie moitié - au moins 2 onces, pas plus!).
La photo et juste une exemple, il devrais avoir au moins 10% os, 10% d'abats, 80% viande
(dans une proposition de 80% de muscles et de 20% de gras).
Pour les abats il faut bien respecter les 10 %
si vous en donner trop le furet tombera en diarrhée et il pourra perdre les poils de sa queue.
Pour le foie environ 50 % sur la partie totale des abats,
les autres qui passent données sur la cervelle, le cœur, les poumons, la langue, les rognons ect...
Également pour compléter cette alimentation à raison d'un jaune d'oeuf par furet par semaine.
Comme gâteries, l'huile de poisson aident à garder la fourrure douce et les
furets adorent!
Vous pouvez également leur donner
des œufs crus ( jaune) une fois par semaine.
Comme pour n'importe quel être vivant, se nourrir correctement est l'essence même d'une bonne longévité.
Dès son plus jeune âge après la période d'allaitement,
le fureton doit être nourri avec un alimentation équilibrée et saine.
Sa croissance en dépend, et donc sa capacité à se prémunir de certaines maladies également.
Le furet est un pure carnivore !
Et oui, il n'est pas attiré par les légumes, les fruits, céréales...
La viande qu'il doit ingérer est son capital protéines, très important pour ce petit être qui mange peu,
mais qui peut se dépenser beaucoup pendant ses périodes d'activité.
Un régime à base de viande crue est donc à privilégier.
De la même manière, il faudra éviter toutes les sucreries
et autres petites gâteries qui peuvent dans le cas d'exagération ,
lui apporter des (graves) problèmes de santé.
Beaucoup de choses sont dites sur des forums sur le choix de la meilleure alimentation !
BARF ? Croquettes ? Mix des deux ?
Chacun y trouvera des avantages et des inconvénients.
Nous proposons de manière objective de vous donner le plus d'informations sur chaque type d'alimentation
afin que vous puissiez choisir l'alimentation qui vous convient.
Comme le montre sa définition, la notion de BARF est très réductrice puisqu'elle ne repose que sur
"les os et la viande crue".
Toujours est-il qu'aujourd'hui, le sigle anglais BARF tend à se substituer de plus en plus
aux termes français de "rations ménagères".
Nourrir son furet soi-même en proposant des repas avec de la viande crue et des os
procurent de nombreuses qualités nutritionnelles.
Du fait de ses courts intestins, le furet doit digérer très vite.
Des aliments comme la viande se rapprochent de l'alimentation original des furets,
qui, avant d'être des animaux domestiques, étaient de véritables chasseurs.
La viande crue est très riche en protéines et autres valeurs nutritives,
immédiatement assimilables par son organisme.
Les foies de volailles sont particulièrement prisés par les furets.
Cependant, il peut dans certains cas y avoir quelques carences
si vous ne varier pas vos rations ménagères.
Enfin, pour des raisons d'hygiène, et de praticité, la nourriture BARF
peut être compliquée à se procurer et fastidieuse à faire.
Veuillez prendre les dispositions nécessaire pour conserver une fraîcheur optimum des aliments,
au risque de développer des bactéries.
De plus, il faut faire cohabiter dans le frigo ou congélateur la nourriture de fufu, et celle de toute la famille,
ce qui peut en « refroidir » quelques uns.
Tout te foi de nombreuses personnes nourrissent selon les principe BARF
et optienne des résultats surprenante sur leur sente et sont de gros gabarit. les problèmes cutanés disparaissent,
les animaux sont plus énergique, les femelles plus fertiles, et les petits grandissent mieux et plus vite.
beaucoup de problème de sente s’améliorent, et peuvent même totalement disparaître avec une aliment BARF.
il n'est en revanche pas nécessaire de donner aux furet tout les aliments don il a besoin a chaque repas. l’équilibre d'une telle alimentation ne s'obtient pas au quotidien,
mais sur plusieurs semaine, comme dans la nature donc pas de panique.
Le plus important est quelle soit diversifiée sur une longue durée.
les avantage d'une telle alimentation:
*pas de tarte.
*pas de mauvaise odeur de la gueule.
*système immunitaire fort.
*ligaments et tendon plus résistant.
*meilleur musculation.
*moins de problème de croissance.
*moins de risque de torsions de l’estomac.
*poils plus soyeux et plus doux.
Et on pourrait encore trouver une multitude de bien fait.
Les croquettes pour furet sont très souvent critique.
Cependant il existe de très bonne croquettes avec environ 80% de viande
que l'on peut commander sur des sites internet spécialité.
Même si l'alimentation BARF et a mon avis la meilleur alimentation,
les croquettes d' excellente compositionces ont permis d'accroître la longévité des furets, des chats, des chiens au cours de ces 40 dernières années.
Donner des extrudés à un furet, c'est lui donner un apport raisonné en vitamines, calcium, et autres nutriments essentiels.
Cependant, il ne faut pas oublier des règles très importantes sur les croquettes pour furet,
car elles peuvent, si elles sont mal choisies être très néfastes puis entraîner le décès de l'animal.
La croquette idéale, doit être riche en protéines entre 35 et 40 %
et forte en matières grasses > 15 %,
mais elle doit surtout être faible en céréales,
très mal assimilées par le furet.
Il faudra donc être vigilant sur la composition des croquettes que vous comptez acheter.
La viande doit être la source dominante de la croquette (souvent appelée premium).
PLUSIEURS GRANDES MARQUE TRES UTILISE ET DE BONNE COMPOSITION
S'ACHÈTE SUR INTERNET LA MARQUE: ORIGEN ET ACANA sont les meilleurs du marché qualité prix actuellement et les plus utilisé par les particulier comme par les elevage.
Les croquettes spécifiques pour furets ne sont pas du tout adaptée pour les Furets et de très mauvaise composition.
Le furet se régule de lui même, laissez lui toujours des croquettes dans une gamelle,
et veillez à lui laisser beaucoup do'eau à proximité.
Vous ferez donc votre choix !
Attention cependant, si vous optez pour des produits de luxe (jambon, steak, et autres)
de consommation courante, votre furet aura souvent du mal à revenir à une alimentation de moins bonne qualité.
Le lait : il est mal digéré et provoque des diarrhées.
Le blanc œufs : l'avidine contenue dans les œufs détruit la biotine, vitamine importante pour le furet.
Le poisson cru : le poisson contient des enzymes « thiaminases » (très présentes dans les viscères) qui détruisent les vitamines B1 et peuvent créer des carences chez le furet. Cependant, si le poisson est cuit, ces enzymes sont détruites, et le poisson devient alors digeste. Par ailleurs, on trouve souvent du poisson (une partie infime) dans les croquettes, qui n'aura aucun impact sur la santé de votre furet.
Les sucres : le chocolat et autres sucreries sont très mauvais pour votre fufu, mais le goût et l'appétence vont naturellement l'attirer, et le pousser à vous en redemander. Ne tombez pas dans le piège !
Une alimentation riche en fibre : un excès de fibre aura une répercussion directe sur votre furet, et provoquera des troubles intestinaux.
Quelques dernières consignes
La composition des aliments industriels pour animaux
varie en fonction des marques, des process de fabrication et de conditionnement (conserves,
soupes, croquettes), mais surtout des gammes de produits. Dans un aliment dit « haut de gamme
», vous ne devriez jamais trouver, par exemple, de sous-produits animaux. A l’exception des
aliments « bio », les végétaux utilisés en alimentation commerciale pour animaux domestiques sont
en revanche toujours des sous-produits et ce pour des raisons économiques évidentes : à l’heure
ou une partie de la population mondiale souffre de la famine, il est important que toute la
production agricole soit valorisée.
Le terme sous-produits désigne les résidus des produits destinés à la consommation humaine; à
savoir pour les céréales : les enveloppes, les brisures, les grains abîmés, moisis, pollués
chimiquement (pesticide, herbicide, engrais) ; et pour les matières animales : les becs, plumes,
cornes, sabots, fourrure, nageoires etc. L’incorporation aux aliments pour animaux domestiques de
sous-produits animaux dits « à risque » (ganglions, contenu des intestins, urine) est interdite par la
Réglementation Européenne. Outre leur provenance douteuse et leur taux de toxicité parfois plus
élevé que cela n'est légalement toléré en matière de consommation humaine (pour les végétaux),
les produits secondaires contiennent des protéines de piètre qualité et sont donc faiblement
nutritifs. La viande et les céréales entières leur sont toujours préférables.
Le
terme hydrolysats désigne
des protéines animales décomposées dans l'eau par l'ajout d'une
solution d'acide sulfurique, le tout chauffé à haute température (on obtient alors des acides aminés,
micro composants des protéines). Ils forment une pâte incorporée par la suite au reste de la
préparation pour cuisson. Les hydrolysats incorporés aux aliments pour animaux de compagnie sont
généralement fabriqués à partir de sous-produits. Dans les aliments diététiques pour animaux
souffrant d’intolérance ou d’allergie alimentaire, l’hydrolyse des protéines permet de réduire la taille
des molécules à une densité telle que l’organisme ne les détecte plus et n’a donc plus de réactions
indésirables (diarrhée, prurit, eczéma).
Le
terme farine désigne
une poudre issue du broyage de matières animales ou végétales. De la
qualité de ces matières premières dépend la qualité de la farine. Pour ce qui est des farines
animales, les farines dites « de viande » sont évidemment préférables aux autres. Les appellations
imprécises, telles que « farine de volaille » ou « farine de poisson », cachent l'usage de sous-
produits.
Les
termes viande
fraîche s’opposent
à celui de farine. La réduction de produits ou sous-produits
animaux en farine implique l’exposition à l’air libre des molécules qui la composent. Soumis à
l’oxydation, même peu de temps, les particules alimentaires perdent donc de leur valeur
nutritionnelle avant même d’entrer dans la chaîne de fabrication industrielle du fabricant
pour y subir le traitement thermique et l’extrusion nécessaires à l’obtention du produit
fini. La viande fraîche, elle, a conservé toute sa valeur nutritive au moment d’intégrer la
chaîne de fabrication. Voilà pourquoi la viande fraîche doit être considérée comme
qualitativement supérieure à la farine de viande. Attention toutefois : la mention « viande fraîche »,
sans autre précision du fabricant, ne permet pas de connaître la teneur totale en viande du produit
fini (par exemple : 50% de viande fraîche ne donnent pas 50% de viande dans le produit fini dans
la mesure où la viande perd de 20 à 50% de sa masse totale après cuisson et dessiccation).
Le
terme cendres désigne
le résidu minéral du produit (ce qu'il en reste après combustion). Un taux
aux alentours de 7% reste normal et acceptable. Au délà de 8%, il convient d'être prudent : un
excès de certains minéraux peut être nocif pour la santé. A partir de 13% (pour un aliment sec
comportant en moyenne 10% d'humidité), la toxicité pour les reins est médicalement constatée.
En
dernière intention, vous verrez fréquemment apparaître sur les informations produit un certain
nombre de mots savants, incompréhensibles pour qui n'a pas suivi des études de chimie. Ces mots
désignent des éléments ajoutés en bout de fabrication, tels que les vitamines de synthèse
(riboflavine, biotine, choline etc.), les minéraux (oligo-éléments, magnesium, potassium etc.), les
colorants, les exhausteurs de goût, les antioxygènes (ou antioxydants), les agents de texture et les
conservateurs, souvent désignés sous le vocable générique « additifs CEE ». En matière d'aliments
industriels pour animaux, les produits garantis sans colorant ni conservateur chimique ne se
rencontrent guère que dans le haut de gamme (en général des aliments secs). Lorsqu'un aliment
pour animal est exempt de colorant et préservé à l'aide de conservateurs naturels (vitamines E, par
exemple), cette indication apparaît clairement sur l'emballage. Depuis peu, les fabricants français
d'aliments pour animaux se voient obligés d'indiquer sur l'emballage de leurs produits la présence
ou l'absence d'OGM, ceci afin de répondre à l’impératif de traçabilité en matière d’aliments
provenant de l’agriculture biologique.
Les
fabricants ont pour obligation de faire figurer sur l'emballage de leurs produits la liste des
ingrédients qui le composent. Ces ingrédients doivent être mentionnés dans un ordre décroissant
d'importance quantitative, autrement dit, du plus présent au moins présent. Si nous gardons à
l'esprit que le chien est un carnivore, le premier ingrédient à apparaître dans la rubrique «
composition » devrait être une source de protéines animales. Un aliment dont le premier ingrédient
est un ingrédient d'origine végétale ne peut en aucun cas répondre aux besoins d'un carnivore
domestique. C'est pourtant le cas de la totalité des aliments « bas de gamme », commercialisés via
la grande distribution. Ces produits d'origine végétale sont essentiellement des céréales, qui
représentent pour les industriels une source de protéines et de fibres à bas prix.
Mais
attention : le simple fait de voir apparaître en haut d'une fiche produit une source de protéines
animales, comme le poulet, l'agneau, la farine de viandes ou le saumon, ne doit pas leurrer le
consommateur. En effet, les grands fabricants d'aliments industriels pour animaux - en particulier
lorsqu'ils commercialisent des produits à des prix très élevés sous l'appellation « aliments de
qualité supérieure », « premium » ou « super premium » - choisissent de faire apparaître
séparément, dans la liste des ingrédients, chaque sorte de céréales (maïs, blé, riz, soja etc.)... ce
qui a pour effet d'empêcher l'acheteur potentiel d'évaluer la teneur totale en céréales du produit. A
l'inverse, ces mêmes fabricants regroupent généralement les ingrédients d'origine animale sous des
termes génériques (protéines de volailles, graisses animales etc.) afin de pouvoir les faire
apparaître en début de liste et donner ainsi l'impression à l'acheteur que ces aliments contiennent
plus de produits animaux que de produits céréaliers.
Ajoutons
à cela que le taux de présence des ingrédients dans le produit fini est évalué à partir de
leur poids de matière non transformée et non de leur poids de matière sèche, c'est-à-dire après
extrusion pour obtention de l’aliment prêt à être commercialisé. Ainsi, un ingrédient ayant un fort
taux d’humidité pourra devancer dans la liste un ingrédient moins humide, alors qu’une fois
déshydraté par l’extrusion, le premier ingrédient sera présent en moins grande quantité que le
second. Or, la viande contient beaucoup plus d’humidité que les céréales. Le fait de la voir arriver
en tête de liste des ingrédients d’un aliment sec pour animaux domestiques n’est donc pas
significatif quant à son taux de présence réel dans ce dernier.
En réalité, l'immense majorité de ces aliments dits « haut de gamme » contient en moyenne un
taux de céréales deux fois supérieurs à celui des produits d'origine animale. Au niveau de la
production internationale d'aliments secs pour chien, on constate que plus de 98% d'entre eux
contiennent plus de céréales que de produits et sous-produits animaux.
Par exemple, un des géants internationaux de l'industrie alimentaire pour animaux de compagnie
annonce sur l'emballage d'un de ses produits phares dits « haut de gamme » que ce dernier
comprend 33% de poulet et de dinde... les 67% restant étant composés de céréales, d'additifs
synthétiques et de compléments alimentaires. En moyenne, la proportion de produits carnés
(farines et sous-produits éventuels compris) entrant dans la composition d'un aliment sec pour
chien varie de 10% à 35% selon les marques et les gammes.
Mais alors, que signifient les mentions de type « riche en viande » sur les emballages de certains
produits ? Disons simplement que le législateur n'a pas la même définition du mot « riche » que
notre dictionnaire... Pour avoir le droit de déclarer son produit « riche en poulet », « riche en
poisson » ou « riche en viande », le fabricant doit intégrer de 14 à 25% de cet ingrédient à son
produit fini. Les mentions de type « poulet et riz », ou « agneau et riz » vous garantissent, quant à
elles, que le produit contient plus de 26% de poulet et riz mélangés, ou d'agneau et riz mélangés.
Que le consommateur se rassure : dans un aliment de bonne qualité (à base de viande fraîche et
non de farines ou de sous-produits animaux), 20% de viande apportent en moyenne 70% des
protéines de la ration. Un % de viande inférieur au % des produits végétaux ne correspond donc
nullement à un % de protéines animales inférieur au % de protéines végétales.
Deux mots enfin sur l’analyse nutritionnelle d’un aliment commercial, dont le détail sur l’emballage
est également obligatoire (protéines, lipides, cellulose, cendres brutes et humidité) et qui figure la
plupart du temps juste en dessous de la liste des ingrédients. Il faut savoir que cette analyse
n’indique pas le pourcentage réel des nutriments dans l’aliment. Selon les choix du fabricant, cette
analyse exprime la proportion moyenne des nutriments (analyse moyenne) ou la proportion
minimale (par exemple : protéines : 20% minimum). L’analyse nutritionnelle ne renseigne pas non
plus l’acheteur sur la qualité des nutriments concernés, c'est-à-dire sur leur taux d’assimilation.
C’est pourtant bien de la qualité des nutriments, et en particulier des protéines, que va dépendre la
qualité de l’aliment dans son ensemble. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi : 18% de
protéines d’excellente qualité, toutes assimilables et donc potentiellement exploitables par
l’organisme de votre chien lui profiteront plus que 20% de protéines de piètre qualité dont la moitié
serait inexploitable. Il convient donc de se référer à la liste des ingrédients pour identifier les
sources de protéines utilisées (préférer par exemple « viande et maïs » à « farine de viande et
blé »).
L’analyse nutritionnelle doit également mentionner l’usage d’additifs alimentaires. La législation
communautaire européenne définit comme additifs « les substances ou les préparations contenant
des substances qui, incorporées aux aliments des animaux, sont susceptibles d’influencer les
caractéristiques de ces aliments »
Le fabricant n’a pas obligation de détailler la liste et les quantités des additifs utilisés dès lors qu’ils
appartiennent à la liste des additifs agréés par l’Union Européenne et sont utilisés selon les normes
établies. La seule mention obligatoire est alors « additifs CEE » ou « additifs UE » (comprendre :
additifs dont l’usage est réglementé par les textes du Parlement Européen).